L’an mil sept cent soixante-six, le treize octobre, après la proclamation des bans de mariage faite sans opposition en cette paroisse, et celle de Saint-Étienne. Suivant le [...] de M. le curé de [...] et la dispense des deux autres. [...] de marier le soir et du jour intermédiaire accordé [...] entre
Adrien Louis Corbeau, veuf d’Ernestine Prudente Maniez de la paroisse de Saint Étienne, commis au greffe des États d’Artois d’une part ;
Élizabeth Augustine Thomas fille âgée de trente ans, des défunts Philippe et de Marie Catel marchands de cette paroisse d’autre part. Moi, soussigné père licencié es lettres de la faculté de Paris, curé de St. Géry, du consentement de leurs parents ai reçu leurs promesses solennelles de mariage et leur ai donné la bénédiction nuptiale, présents et assistés les témoins d’Adrien Corbeau Poreau Mariane de la paroisse Saint-Aubert] de Philippe Roblen contrôleur des droits remis à Armentières, de Paul Joseph Thomas, paroissien sur la paroisse St. Nicolas-sur-les-Fossés, tous deux frères germains à la mariante et de Thomas Catel, paroissien St Sauveur à Arras, son oncle maternel ; lesquels ont signé avec nous curé et les contractants :
Signatures : Elisabeth Augustine Thomas ; L. Corbeau ; Thomas; Thomas Catel ; Pernau (curé de St. Géry)
Source : Archives du Pas-de-Calais. Arras, paroisse Saint-Géry,
vue.