L’an mil six cens septante huit et le vingt sixième septembre après les fiançailles et publications des bans de mariage d’entre
Pierre Briat aagé de trente ans ou environ, fils légitime de
Guinot Briat et
Anne de Certain du village d’Alhiat présente paroisse d’une part ; et
Marie d’Andrieu aagée de vingt ans ou environ, fille légitime de
Hélie Andrieu et feue
Marthe de Maurin du village de Pouch paroisse de Noalhiac d’autre, sans avoir descouvert aucun empeschement canonique et receu certificat du semblable de Mr. le curé dudit Noailhac, signé Briat curé de Noailhac en datte de cejourdhuy ; je les ay admis au sacrement de mariage et après avoir receu leur mutuel consentement leur ay donné la bénédiction nuptiale en présence de Guinot Briat père dudit époux et Anthoine Briat son frère, Hélie Andrieu père de ladite épouse et Jean Andrieu son frère avec d’autres parens quy n’on signé pour ne scavoir de ce requis.