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Claude DEVIDAS

Male 1926 - 2025  (98 years)


Personal Information    |    Notes    |    Sources    |    Event Map    |    All    |    PDF

  • Name Claude DEVIDAS 
    Birth 25 Oct 1926  Cubjac, Dordogne, France Find all individuals with events at this location 
    Gender Male 
    Also Known As Jean Marie Claude DEVIDAS 
    Census 1931  rue Gambetta, Brantôme, Dordogne, France Find all individuals with events at this location  [1
    Death 3 Jan 2025  Brive-la-Gaillarde, Corrèze, France Find all individuals with events at this location 
    Siblings 1 brother and 1 sister 
    Person ID I17433  bmds
    Last Modified 21 Mar 2025 

    Father Roger DEVIDAS,   b. 14 Sep 1898, Caudéran, Gironde, France Find all individuals with events at this locationd. 14 Jan 1964, Périgueux, Dordogne, France Find all individuals with events at this location (Age 65 years) 
    Mother Blanche BRIAT,   b. 1 Oct 1899, Le Bouscat, Gironde, France Find all individuals with events at this locationd. 14 Dec 1996, Montpellier, Hérault, France Find all individuals with events at this location (Age 97 years) 
    Family ID F26  Group Sheet  |  Family Chart

    Family Denise Jeanne GERVAISE,   b. 13 Oct 1928, La Ville-du-Bois, Seine-et-Oise, France Find all individuals with events at this locationd. 2 Feb 2017, Gourdon, Lot, France Find all individuals with events at this location (Age 88 years) 
    Marriage Mar 1952  Bir Jdid, Maroc Find all individuals with events at this location 
    Age at Marriage Claude : 25 years old | Denise : 23 years old. 
    Family ID F7033  Group Sheet  |  Family Chart

  • Event Map
    Link to Google MapsBirth - 25 Oct 1926 - Cubjac, Dordogne, France
    Link to Google MapsCensus - 1931 - rue Gambetta, Brantôme, Dordogne, France
    Link to Google MapsMarriage - Mar 1952 - Bir Jdid, Maroc
    Link to Google MapsDeath - 3 Jan 2025 - Brive-la-Gaillarde, Corrèze, France
    Pin Legend  : Address       : Location       : City/Town       : County/Shire       : State/Province       : Country       : Not Set

  • Notes 
    • Claude Devidas est, en août 1948, l’un des explorateurs (avec les frères Robert et Yves Delfour) des grottes de Tourtoirac, particulièrement de la rivière souterraine de la Reille, près de Nailhac. Il part ensuite comme coopérant civil au protectorat du Maroc où il est nommé instituteur, puis directeur de l’école primaire Dakhla de Bir Jdid.

      Source : Protectorat de la République Française au Maroc. Bulletin officiel n° 2002 du 9 mars 1951 : « Direction de l’Instruction Publique. Sont nommés du 1er janvier 1951 [...] Instituteur de 6e classe, M. Devidas Claude »

      Source : Protectorat de la République Française au Maroc. Bulletin officiel n° 2280 du 6 juillet 1956 : « Direction de l’Instruction Publique. Sont nommés du 1er janvier 1956 [...] Instituteur de 4e classe, M. Devidas Claude »


      Claude et Denise Devidas à Bir Jdid, 1964


      Source : Center Blog - Bir Jdid / Saint Hubert :
       La petite ville de Bir Jdid a été connue comme Saint Hubert quand le Maroc était sous le protectorat de la France, elle est située de 45 kilomètres de sud de Casablanca, et à 50 kilomètres au nord d’EL Jadida. Son climat est modéré et humide grâce à sa situation près de la côte atlantique à environ quatorze kilomètres. Elle a été fondée pour être une place d’assemblée des chasseurs.
       Bir Jdid s’est appelé ainsi parce que Bir (puits) et Jdid (nouveau) est la combinaison des mots (nouveau puits), au moment où Mharza (un des indigènes originaux de Bir Jdid) a creusé un nouveau puits où les gens pourraient arroser en bas de leurs bêtes et remplir au jet leurs récipients.
       La plupart des activités communes des indigènes sont l’agriculture et commerce.

      Commentaire de El haddad Abdelkader le 11 janvier 2015 :
       Bir Jdid était au départ une halte de diligence entre Casablanca et Mazagan (actuellement El Jadida). La Halte Saint Hubert, aujourd hui disparue, était un restaurant tenu par une famille française avec une station d’essence Mobil. Outre la cuisine très appréciée à l’époque, c’était aussi un point de vente des tickets de la CTM en direction de Casablanca, Azemmour et El jadida. Un deuxième restaurant était tenu par Mme Orsa au côté opposé près de la maison cantonnière.
       Sur la route menant a Sidi Said Benmaachou se trouvait un boucher et en face de lui était la boulangerie de M. Recoin sur la route menant à El Oulja. Bir Jdid Chavent était un point de ralliement des chasseurs mais aussi un point de ravitaillement en eau potable pour les populations autochtones.
       Les familles marocaines aisées de l’époque se réduisaient à quelques unités (les deux Ben Brahim haj et Ahmed, le cheikh Réguet et le Mokademm Benarafa à El Oulja). Les autres familles étaient des artisans (maçons : Boutayeb et Mounir), des petits commerçants (Taibi), un meunier (Azzar), des fellahs (El Haddad).
       En 1952, nous étions 11 élèves dont une seule fille (Zahra) inscrits à l’école rurale de Bir Jdid qui comptait trois instituteurs (le couple Devidas et un enseignant de langue arabe, Aguida puis Makroum). L’école française était située dans le collège actuel et ne communiquait pas avec l’autre institution. La géographie mais aussi les habitudes ont beaucoup évolué avec l’avènement de l’indépendance du pays.

  • Sources 
    1. [S17] Recensement.
      Source : Archives de la Dordogne. Brantôme 1931, vue 2 sur 37.