Bertrand DEVIDAS
1872 - 1913 (41 years)-
Name Bertrand DEVIDAS Birth 26 Sep 1872 Andernos, Gironde, France 
[1] Gender Male Occupation Marin Death 16 Dec 1913 Andernos, Gironde, France 
Siblings1 brother and 3 sisters Person ID I27796 bmds Last Modified 16 Apr 2024
Father Pierre DEVIDAS, b. 22 Dec 1842, Andernos, Gironde, France d. Aft 1911 (Age > 70 years) Mother Jeanne FOURQUAND, b. 23 Aug 1846, Le Temple, Gironde, France d. Aft 1926 (Age > 81 years) Family ID F10360 Group Sheet | Family Chart
Family Marie LALANDE, b. 5 Feb 1875, Andernos, Gironde, France d. Bef 1911 (Age < 35 years) Children 1 son and 2 daughters + 1 . Jean Marie DEVIDAS, b. 7 Jan 1898, Andernos, Gironde, France d. 15 Jan 1966, Andernos, Gironde, France (Age 68 years)+ 2 
. Marie Élise DEVIDAS, b. 25 Oct 1900, Andernos, Gironde, France d. 4 Nov 1976, Arès, Gironde, France (Age 76 years)3 . Marguerite Yvonne DEVIDAS, b. 9 Jun 1902, Andernos, Gironde, France d. 11 Dec 1955 (Age 53 years)Family ID F10356 Group Sheet | Family Chart
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Event Map 
Birth - 26 Sep 1872 - Andernos, Gironde, France Death - 16 Dec 1913 - Andernos, Gironde, France Pin Legend 
: Address
: Location
: City/Town
: County/Shire
: State/Province
: Country
: Not Set
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Notes - Lundi, vers une heure du matin, un drame a mis en émoi la commune d’Arès, située entre le bassin d’Arcachon et la forêt des pins.
Un journalier, Octave Bienzan, âgé de vingt-huit ans, marié depuis deux ans à une ancienne bonne de café d’Arès, âgée de dix-huit ans, a tué d’un coup de fusil tiré de la fenêtre de sa demeure, un nommé Betrand Devidas, âgé de quarante-deux ans, marin à Andernos, veuf et père de trois enfants.
D’après le meurtrier, c’est dans une auberge d’Arès qu’il aurait rencontré, dans la soirée, Bertrand Devidas qu’il ne connaisait pas.
En sa compagnie et celle d’un ami, Bienzan quitta l’auberge pour aller à la pêche à la « piballe ».
Pendant qu’il changeait de vêtements, ses deux compagnons restèrent devant sa demeure, située dans un endroit désert, puis tous trois se dirigèrent vers le canal.
En cours de route, Bertrand Devidas aurait quitté ses compagnons sous le prétexte de rentrer chez lui à Andernos.
Pris de doute, Bienzan abandonna son projet de pêche, rentra rapidement à son domicile et se coucha sans avoir remarqué rien d’anormal.
Mais cinq minutes plus tard, il aurait entendu frapper à la fenêtre, et à plusieurs reprises dire : « Ouvrez-moi ou je défonce tout. »
C’est sur cette menace que la fenêtre aurait été ouverte et qu’il aurait fait feu sur l’importun qui fut attent mortellement au cou.
Le meurtrier est allé lui-même prévenir les gendarmes ; il soupçonnait, a-t-il déclaré, l’inconnu d’être un maraudeur venu pour lui voler ses poules et ses lapins.
Le parquet s’est transporté sur les lieux et a ouvert une enquête qui, croit-on, amènera de nouvelles révélations.
Source : La Charente (17 décembre 1913).
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Sources