Catherine married Vivien DEVIDAS on 14 Mar 1825 in Saint-Laurent-Médoc, Gironde, France. Vivien (son of Jean DEVIDAS and Elisabeth BERNON) was born on 21 Nov 1799 in Saint-Laurent-Médoc, Gironde, France; died on 23 Jan 1889 in Lamarque, Gironde, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Occupation: Tailleur d’habits
• Census: 1891, Lamarque, Gironde, France
• Census: 1896, Lamarque, Gironde, France
• Census: 1906, Lamarque, Gironde, France

Notes:

À Lamarque et à Cussac on retrouve trace d’un vigneron Devidas (ainsi que tout le cousinage Bosc, Giraudin, Teychonneau, Saintout, Hostein, Loubaney, Bacquey, etc.) dans un l’ouvrage « Bordeaux and its WInes, Classed by Order of Merit », édition de 1899, à la page 183, ainsi qu’à la page 187.

Pierre married Marie-Adèle TEYCHONNEAU on 6 Jun 1857 in Lamarque, Gironde, France. Marie-Adèle (daughter of Jean TEYCHONNEAU and Marie Aldegonde CARRASSET) was born on 18 Oct 1835 in Lamarque, Gironde, France; died on 5 Jul 1907 in Lamarque, Gironde, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Occupation: Pharmacien - Employé de commerce
• Census: 1891, Lamarque, Gironde, France
• Census: 1896, Cussac, Gironde, France
• Census: 1901, Talence, Gironde, France
• Census: 1911, La Réole, Gironde, France
• Residence: 1916, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France
• Residence: From 1928 to 1931, Libourne, Gironde, France

Notes:

Jean Devidas est diplômé de la faculté de pharmacie en 1887. On le trouve répertorié dans le Guide Rosenwald comme pharmacien aux dates et endroits suivants :
– 1890 à 1896 : Lamarque (Gironde)
– 1898 à 1901 : Cussac (Gironde)
– 1902 à 1903 : Sos (Lot-et-Garonne)
– 1906 : Essigny (Aisne)
– 1907 à 1908 : Rozoy (Aisne)
– 1909 à 1912 : La Réole (Gironde)
– 1925 : Prayssac (Lot) ?
– 1928 à 1934 : Libourne (Gironde)

Il est toutefois à noter qu’un « Devidas Jean, Henri — Pharmacie — 10 fév. [1907] — Rozoy-sur-Serre » est repéré dans la liste des commerces ayant fait faillite.

Jean married Marie Louise GIRAUDIN on 29 Apr 1890 in Margaux, Gironde, France. Marie (daughter of Pierre Théodore GIRAUDIN and Marguerite Jeanne LAFON) was born on 31 Mar 1869 in Cussac, Gironde, France; died on 16 Sep 1935 in Bordeaux, Gironde, France; was buried on 19 Sep 1935 in Cimetière de la Chartreuse, Bordeaux, Gironde, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Occupation: Directeur à la Société d’Électricité de la Benauge
• Census: 1891, Lamarque, Gironde, France
• Census: 1896, Cussac, Gironde, France
• Residence: From 1914 to 1919, Zerbst, Saxe-Anhalt, Germany
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France
• Residence: 1924, Bordeaux, Gironde, France
• Residence: 1926, Cadillac, Gironde, France

Notes:

Fiche d’identité militaire de Devidas, Pierre Louis

État Civil : Né le 26 févirer 1891 à Larmarque, canton de Castelnau, département de la Gironde, résidant au Bouscat, canton de Bordeaux, département de la Gironde, profession d’employé de Commerce. Fils de Jean et de Marie Louise Giraudin domiciliés au Bouscat, canton de Bordeaux, département de la Gironde.

Signalement : Cheveux châtain moyen ; yeux châtain foncé ; teint clair ; taille 1m59 ; visage ovale ; degré d’instruction générale : 3

Décision du conseil de révision : classé dans la 1re partie de la liste en 1912.

Détail des services et mutations diverses : Inscrit sous le n° 130 de la liste du 1er canton de Bordeaux. — Incorporé à compter du 8 octobre 1912. Dirigé au corps le 8 octobre 1912. — Nommé Caporal le 30 août 1913. — Nommé Sergent le 30 janvier 1914. — Prisonnier le 22 août 1914 à Bertrix (Belgique). Interné à Zerbst (Allemagne). — Rapatrié et passé au 144e d’Infanterie le 19 février 1919. — Affecté au 57e Régt. d’Infanterie le 1er août 1924. — Classé sans affectation le 1er mai 1929. — Deux enfants — Classé affecté spécial à la Sté Rurale de Distribution d’Électricité de la Benauge le 18 mars 1932 comme Directeur Général.

Localités successives habitées : 17 janvier 1924 : rue Bigot, 26 à Bordeaux — 4 juin 1926 : Cadillac (Directeur à la Société d’Électricité de la Benauge)

Pierre married Sabine Élisa BRIAT on 15 Oct 1921 in Bordeaux, Gironde, France. Sabine (daughter of Jean BRIAT and Eugénie Ernestine DUCHÉ) was born on 23 Aug 1894 in Le Bouscat, Gironde, France; died on 19 Jul 1987 in Bordeaux, Gironde, France; was buried in Cadillac, Gironde, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Military Service: Classe 1913. Matricule 1209
• Census: 1896, Cussac, Gironde, France
• Census: 1901, Talence, Gironde, France
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France
• Residence: 1927, Dakar, Sénégal

Notes:

Le caporal René Devidas est grièvement blessé par balles de 5 mai 1915 à la Tranchée de Calonne, non loin de Verdun. Il y laissera sa machoire droite et restera toute sa vie défiguré.
En 1927, il tentera l’aventure coloniale à Grand-Bassam (Côte-d’Ivoire) avec le Comptoir Général Français de l’Afrique Occidentale, fondu en 1927 dans le Comptoir Sénégalais.

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Marie Henriette

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Marie Marguerite
• Occupation: Employée de commerce
• Census: 1901, Cussac, Gironde, France
• Census: 1906, Cussac, Gironde, France
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France

Marguerite married Roger Alphonse TARQUIN on 24 Aug 1916 in Bordeaux, Gironde, France, and was divorced on 28 Jul 1926 in Gironde, France. Roger (son of Louis TARQUIN and Émilie FOUGÈRES) was born on 30 Mar 1885 in Angoulême, Charente, France; and died. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Census: 1901, Talence, Gironde, France
• Military Service: 1917, Bordeaux, Gironde, France
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France
• Residence: 1924, Libourne, Gironde, France
• Residence: 1925, Cubjac, Dordogne, France
• Census: 1926, Cubjac, Dordogne, France
• Census: 1931, Brantôme, Dordogne, France
• Residence: 1934, Cadillac, Gironde, France
• Residence: 1937, 21 rue Duffour-Dubergier, Bordeaux, Gironde, France
• Residence: 1938, Hautefort, Dordogne, France
• Census: 1946, Hautefort, Dordogne, France
• Residence: 1953, 2 cours Montaigne, Périgueux, Dordogne, France

Notes:

Après avoir vécu les premières années de leur mariage à Bordeaux, puis Talence (où naît leur fille Colette en octobre 1922), les Devidas s’installent à Libourne en 1924 où Blanche exploite un commerce d’épicerie. La famille se sépare de cette épicerie à la fin de l’année 1925. (Source : parution d’une annonce légale dans La Chronique du Libournais, 13 novembre 1925, p. 3/4) :

« [...] Monsieur Roger DEVIDAS, préparateur en pharmacie, et Madame Blanche BRIAT, épicière, époux, demeurant ensemble à Libourne, avenue Georges-Clemenceau, numéro quarante-six, ont vendu à Monsieur Jean DUHAU, cultivateur, et Madame Jeanne MOIGNET, sans profession, époux, demeurant ensemble à Labrille, commune de Vignonet, le petit Fonds de Commerce d’Épicerie, Mercerie et VIns à emporter qu’ils exploitaient à Libourne, avenue Georges-Clemenceau, numéro quarante-six, comprenant l’enseigne d’Épicerie Saint-Ferdinand sous laquelle le dit fonds est connu et exploité. [...] »

   Fin 1925, la famille s’installe à Cubjac (Dordogne) où naîtra leur second enfant, Claude, en octobre 1926. Roger Devidas travaille alors comme préparateur à la pharmacie de M. Léonce Durand.
 En 1928, nouveau déménagement pour Brantôme (Dordogne) et nouveau lieu de travail : la pharmacie Peyrot située rue Gambetta. Ils y resteront six ans. Jean Briat, le père de Blanche, viendra passer ses dernières années à Brantôme, en compagnie de son épouse Marie Peyronnet ; il décède en 1931. C’est à Brantôme que naît le dernier enfant de la famille, Jacques, en novembre 1929.
 En 1934, pour se rapprocher de son frère Louis lequel est directeur de la Société d’électricité rurale de la Benauge, Roger Devidas obtient un poste à la pharmacie centrale de l’asile de Cadillac-sur-Garonne, alors dirigé par Albert Mamelet (sa fille Marie-Rose fera une brillante carrière de haut-fonctionnaire, et sera à l’initiative d’une refonte de la psychiatrie hospitalière française des années 1960-1970). À la fin 1936, survient un accident malheureux. La chute d’une tuile lors d’un orage interrompra brutalement la vie familiale à Cadillac, Roger est hospitalisé d’urgence et ne peut momentanément plus travailler.
 En février 1937, la famille s’installe à nouveau à Bordeaux au 21 rue Duffour-Dubergier où Roger a retrouvé du travail et aide Pierre Petiot (diplômé en 1908) à la création d’une nouvelle pharmacie.
 En septembre 1938, le pharmacien de Hautefort (Dordogne) Louis Galtier (ingénieur chimiste de 1re classe) est à la recherche d’un préparateur de confiance pour l’aider à gérer l’officine. L’offre convient aux Devidas qui s’installent à Hautefort. Ils y resteront jusqu’en 1953.
 Au cours des années suivantes, Roger reprend une charge d’assureur à Périgueux auprès de la compagnie « La France ». Il décède à Périgueux en 1964. Son épouse, Blanche, tiendra ensuite un commerce de tabac-journaux à Saint-Pierre-de-Chignac jusqu’en 1972.

Roger Devidas a été secrétaire général du groupe régional Sud-Ouest de l’association des « Combattants de moins de vingt ans » (Source : Bulletin de l’association Les Combattants de moins de vingt ans, 1re année, n° 2, quatrième trimestre 1937). La première réunion de cette section se tient le 22 octobre 1937 à l’Athénée à Bordeaux. Un court article de la Liberté du Sud-Ouest du 1er novembre 1937 relate cette réunion :

« Les Anciens Combattants de moins de Vingt ans — L’assemblée statutaire s’est tenue le 22 courant à l’Athénée. La plupart de membres de l’association de « moins de 20 ans » étaient présents. Le rapport moral fut présenté par Devidas, sécrétaire général, et approuvé à l’unanimité. Il en fut de même pour le rapport financier présenté par Guyard, trésorier. Après une allocution du Dr Girou, plusieurs membres posèrent un certain nombre de questions et firent part de leurs désidérata. De nouveaux membres ont été admis ; dix-sept sont venus immédiatement grossir notre effectif qui devient de jour en jour plus important. Pour ceux qui sont encore hésitants, nous définissons ici nos buts : union, camaraderie, entr’aide, sans distinction de parti ou de croyance. Notre groupement réunira bientôt la majeure partie des Anciens combattants de moins de 20 ans. Prochaine réunion amicale, vendredi 5 novembre [1937], à 21 heures, Café Gambetta, 20, place Gambetta. Pour renseignements, s’adresser au Dr Girou, 77, rue Judaïque ; à R. Devidas, secrétaire général, 21, rue Duffour-Dubergier. »

En 1951, Roger Devidas est nommé suppléant du juge de paix du canton de Hautefort en remplacement de Louis Galtier qui a été atteint par la limite d’âge. (Source : Journal officiel du 4 août 1951).

Roger married Blanche BRIAT on 15 Oct 1921 in Bordeaux, Gironde, France. Blanche (daughter of Jean BRIAT and Eugénie Ernestine DUCHÉ) was born on 1 Oct 1899 in Le Bouscat, Gironde, France; died on 14 Dec 1996 in Montpellier, Hérault, France; was buried in Balaruc-les-Bains, Hérault, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Marie Marguerite Odette
• Census: 1901, Talence, Gironde, France
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Marie Henriette Simone
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France
• Census: 1931, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France

Simone married Jean OLLIVIER on 8 Aug 1936 in Bordeaux, Gironde, France. Jean was born on 15 Jul 1900 in Kerbors, Côtes-du-Nord, France; died on 15 May 1959 in Le Havre, Seine-Maritime, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Pierre Jean Gilbert

Gilbert married Renée MARCILLAUD on 20 Apr 1953 in Cadillac, Gironde, France. Renée (daughter of Camille MARCILLAUD and Marie BEYLOT) was born in Cadillac, Gironde, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Pierrette Marie Claudine

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Jean René Pierre DEVIDAS

Notes:

L’avion piloté par le capitaine Jean Devidas (un Piper P1-22 Tripacer) s’écrase au sol le 15 mars 1971 près de Fort-Lamy. alors qu’il effectuait un vol de contrôle technique L’adjudant mécanicien Pierre Lhermiller est tué sur le coup tandis que le capitaine Devidas, grièvement blessé, décèdera trois jours après à l’hôpital Percy de Clamart.

Jean married Suzanne Jeanne GRANDET on 9 Aug 1969 in Perpignan, Pyrénées-Orientales, France. Suzanne was born on 18 Jul 1921 in Bordeaux, Gironde, France; died on 2 mai 2013 in Perpignan, Pyrénées-Orientales, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Occupation: Employé de commerce
• Census: 1921, 22 rue Sainte-Eugénie, Bordeaux, Gironde, France

René married Germaine Marguerite PRADAYROL on 10 Aug 1940 in Talence, Gironde, France. Germaine (daughter of Louis PRADAYROL and Amélie VALETTE) was born on 16 Feb 1920 in Bordeaux, Gironde, France; died on 19 Jun 2021 in Ablon-sur-Seine, Val-de-Marne, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Blanche Marie Colette DEVIDAS
• Census: 1926, Cubjac, Dordogne, France
• Census: 1931, rue Gambetta, Brantôme, Dordogne, France
• Residence: 1933, 38 rue Gambetta, Brantôme, Dordogne, France
• Residence: 1937, 21 rue Duffour-Dubergier, Bordeaux, Gironde, France
• Census: 1946, Hautefort, Dordogne, France

Colette married Michel LUCET on 25 Feb 1956 in Dammarie-les-Lys, Seine-et-Marne, France. Michel (son of Antoine LUCET and Léonie COUTUREAU) was born on 6 Jun 1931 in Montebourg, Manche, France; died on 19 Aug 1996 in Saint-Michel-sur-Orge, Essonne, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Jean Marie Claude DEVIDAS
• Census: 1931, rue Gambetta, Brantôme, Dordogne, France
• Census: 1946, Hautefort, Dordogne, France

Notes:

Claude Devidas accomplit ses études primaires et secondaires à l’école primaire supérieure et au collège d’Excideuil. Il aura comme professeurs : René Bauberot (histoire), Clarin (sciences naturelles), Le Bouzi (mathématiques), Mlle Lemaire (français), le directeur à cette époque étant Albert Faurel. Claude est lauréat en juillet 1939 du Concours des Bourses nationales (Source : Le Petit Limousin, 22 juillet 1939).

Claude Devidas est, en août 1948, l’un des explorateurs spéléologues (avec les frères Robert et Yves Delfour) des grottes de Tourtoirac, particulièrement de la rivière souterraine de la Reille, près de Nailhac. Voir le rapport de l’exploration complémentaire qui aura lieu en 1949 par une nouvelle équipe de spéléologues (Source : Annales de spéléologie, janvier 1951)

Il part ensuite comme coopérant civil au protectorat du Maroc où il est nommé instituteur, puis directeur de l’école primaire Dakhla de Bir Jdid.

Source : Protectorat de la République Française au Maroc. Bulletin officiel n° 2002 du 9 mars 1951 : « Direction de l’Instruction Publique. Sont nommés du 1er janvier 1951 [...] Instituteur de 6e classe, M. Devidas Claude »

Source : Protectorat de la République Française au Maroc. Bulletin officiel n° 2280 du 6 juillet 1956 : « Direction de l’Instruction Publique. Sont nommés du 1er janvier 1956 [...] Instituteur de 4e classe, M. Devidas Claude »

Claude et Denise Devidas à Bir Jdid, 1964

Source : Center Blog - Bir Jdid / Saint Hubert :
 La petite ville de Bir Jdid a été connue comme Saint Hubert quand le Maroc était sous le protectorat de la France, elle est située de 45 kilomètres de sud de Casablanca, et à 50 kilomètres au nord d’EL Jadida. Son climat est modéré et humide grâce à sa situation près de la côte atlantique à environ quatorze kilomètres. Elle a été fondée pour être une place d’assemblée des chasseurs.
 Bir Jdid s’est appelé ainsi parce que Bir (puits) et Jdid (nouveau) est la combinaison des mots (nouveau puits), au moment où Mharza (un des indigènes originaux de Bir Jdid) a creusé un nouveau puits où les gens pourraient arroser en bas de leurs bêtes et remplir au jet leurs récipients.
 La plupart des activités communes des indigènes sont l’agriculture et commerce.

Commentaire de El haddad Abdelkader le 11 janvier 2015 :
 Bir Jdid était au départ une halte de diligence entre Casablanca et Mazagan (actuellement El Jadida). La Halte Saint Hubert, aujourd hui disparue, était un restaurant tenu par une famille française avec une station d’essence Mobil. Outre la cuisine très appréciée à l’époque, c’était aussi un point de vente des tickets de la CTM en direction de Casablanca, Azemmour et El jadida. Un deuxième restaurant était tenu par Mme Orsa au côté opposé près de la maison cantonnière.
 Sur la route menant a Sidi Said Benmaachou se trouvait un boucher et en face de lui était la boulangerie de M. Recoin sur la route menant à El Oulja. Bir Jdid Chavent était un point de ralliement des chasseurs mais aussi un point de ravitaillement en eau potable pour les populations autochtones.
 Les familles marocaines aisées de l’époque se réduisaient à quelques unités (les deux Ben Brahim haj et Ahmed, le cheikh Réguet et le Mokademm Benarafa à El Oulja). Les autres familles étaient des artisans (maçons : Boutayeb et Mounir), des petits commerçants (Taibi), un meunier (Azzar), des fellahs (El Haddad).
 En 1952, nous étions 11 élèves dont une seule fille (Zahra) inscrits à l’école rurale de Bir Jdid qui comptait trois instituteurs (le couple Devidas et un enseignant de langue arabe, Aguida puis Makroum). L’école française était située dans le collège actuel et ne communiquait pas avec l’autre institution. La géographie mais aussi les habitudes ont beaucoup évolué avec l’avènement de l’indépendance du pays.

Claude married Denise Jeanne GERVAISE in Mar 1952 in Bir Jdid, El Jadida, Maroc. Denise (daughter of Adrien Georges Joseph Marie GERVAISE and Marguerite GAUTHIER) was born on 13 Oct 1928 in La Ville-du-Bois, Essonne, France; died on 2 Feb 2017 in Gourdon, Lot, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Jules Marie Jacques DEVIDAS
• Census: 1931, rue Gambetta, Brantôme, Dordogne, France
• Census: 1946, Hautefort, Dordogne, France

Jacques married Gisèle FARO on 20 Oct 1951 in Meknès, Maroc. Gisèle (daughter of Isidore FARO and Marie-Louise MASSE) was born on 16 Jul 1926 in Homps, Aude, France; died on 11 May 2021 in Balaruc-les-Bains, Hérault, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Notes:

Il y a un an, 15 morts dans un brasier sur l’autoroute A10
L’Humanité — Vendredi 11 Novembre 1994

Le 10 novembre 1993, un violent carambolage dans lequel étaient impliqués plusieurs camions bouleversait et interrogeait la France. Le débat sur les moyens de transport était ouvert. Un an après, le gouvernement continue à privilégier la route.

 Une cérémonie commémorative a été organisée, jeudi, à Mirambeau (Charente-Maritime), un an après le carambolage de l’A10, entre Paris et Bordeaux, qui a fait, le 10 novembre 1993, 15 morts et 55 blessés. Une messe, qui a réuni quelque 200 personnes, parmi lesquelles des rescapés, les familles de victimes, ainsi que sauveteurs et gendarmes, a été célébrée à 11 heures en l’église de Saint-Martial-de-Mirambeau, village où avaient été rassemblés les corps après l’accident.
 Les rescapés et familles de victimes se sont ensuite rendus sur les lieux du drame. Une plaque commémorative portant l’inscription «Aux victimes de l’accident du 10 novembre 1993» a été déposée, ainsi que plusieurs gerbes de fleurs, dont une du ministre des Transports et une autre du préfet de la Charente-Maritime. Après la cérémonie, Me Jacques Vincens, l’avocat de l’Association de défense et de soutien aux victimes et familles de victimes de l’accident de l’A10 (ADVIFA), a annoncé qu’une cellule constituée de 6 à 7 psychologues allait être mise en place au sein de l’ADVIFA afin de venir en aide aux «personnes qui souffrent encore dans leur chair et dans leur tête». Il a également déclaré qu’il allait proposer l’intégration d’une telle cellule dans le plan ORSEC, déclenché en cas de catastrophe ou d’urgence collective.
 «Un halo rougeâtre, comme une cloche de lumière. Un enchevêtrement de voitures carbonisées. Et puis l’odeur... insoutenable.» Un an après, rescapés et secouristes sont toujours sous le choc et ont en mémoire cette vision de cauchemar. Ce jour-là, à 19 h 30, la circulation est dense. Il pleut. A la hauteur de Mirambeau, la fumée qui s’échappe d’un camion stationné sur la bande d’arrêt d’urgence provoque un accident en chaîne, mêlant 46 véhicules légers et 6 ensembles routiers. Le feu gagne la plupart des voitures. Un gigantesque brasier s’étend sur 150 mètres d’autoroute. Les sauveteurs auront les pires difficultés à extraire les victimes des tôles froissées et calcinées. Au point que le bilan de la tragédie ne pourra définitivement être établi que le surlendemain. L’identification des victimes prendra plusieurs jours. Le 13 novembre, deux conducteurs de camion sont mis en examen pour homicides involontaires: Raymond Ramirez, dont la remorque s’est mise en travers de la chaussée lorsqu’il a dû freiner, et Mariusz Pawlowsky, un chauffeur polonais qui conduisait le dernier poids lourd, celui qui a percuté par l’arrière une file de voitures déjà immobilisées ou accidentées.
 Un an après, le dossier est au point mort. L’instruction, qui a été confiée à Dominique Guiraud, juge d’instruction à Saintes, est suspendue à la remise du rapport des experts dont les conclusions étaient attendues au printemps, puis repoussées pour être transmises, peut-être, au début de 1995. Ces experts doivent décrire ce qui s’est passé, l’ordre des chocs, leur force et surtout la cause de l’incendie qui constitue la particularité de cet accident. Leur travail consiste notamment à désosser chacun des véhicules pour établir la résistance mécanique et l’énergie cinétique afin de déduire la vitesse. Quelques heures après l’accident, le ministre des Transports avait, en effet, hâtivement bouclé l’enquête.
 Selon lui, la cause du carambolage était la vitesse. Un peu comme si les automobilistes avaient volontairement choisi de mourir à Mirambeau. «Il y a un problème national qui est en chacun de nous. Nous nous transformons en prenant le volant. Cela peut conduire à une catastrophe de ce genre», avait-il dit. Mais l’émotion dans le pays avait permis d’ouvrir en grand le dossier des transports et de leur sécurité dans notre pays. La question, ni technique ni utopique, appelait, en effet, une réponse politique: celle d’un choix de civilisation. Un an après, le ministre a apporté la sienne. Celle qui consiste à continuer à privilégier la route au détriment des autres moyens de transports, en décidant de lancer un programme autoroutier sur 3.000 nouveaux kilomètres, et en engageant la SNCF à supprimer des liaisons, des gares, ou des ateliers de maintenance, comme à Vitry, dans le Val-de-Marne.
 Et, un an après, le ministre en est encore au stade des effets d’annonce. Il prépare, a-t-il précisé, des mesures destinées, selon lui, à éviter de tels accidents. Un projet de loi viserait à transformer de contraventions en délits les excès dépassant de plus de 50 km/h les vitesses autorisées, et le débridage des limiteurs de vitesse ou des chronotachygraphes installés à bord des camions. Par ailleurs, sur certains itinéraires autoroutiers les plus chargés, la circulation des poids lourds, déjà interdite le week-end, le sera aussi les jours de forte circulation. Mais des dérogations seront toujours possibles. En outre, à partir du 1er mai 1995, les poids lourds devront avoir des réservoirs de carburant renforcés, offrant une meilleure résistance aux chocs.
 Un an après, les rescapés et les familles des victimes ont cependant l’impression d’avoir été oubliés. Yann Méheux, le président de l’ADVIFA a annoncé son intention d’engager une action en référé en vue d’obtenir des indemnisations à titre provisoire pour les victimes. Celles-ci se heurtent toujours aux compagnies d’assurances et certaines se sont même vu pénaliser d’un malus.

DOMINIQUE BEGLES.

Family/Spouse: Yann MÉHEUX DRIANO. Yann was born about 1956. [Group Sheet] [Family Chart]

Family/Spouse: Josiane LABAT. [Group Sheet] [Family Chart]

Family/Spouse: Unknown. [Group Sheet] [Family Chart]

Other Events and Attributes:

• Also Known As: Christine Marguerite Marie Jacqueline LUCET

Family/Spouse: Mohamed Nejib BOUBAKER. Mohamed was born in 1955 in Kalâat el-Andalous, Ariana, Tunisie; died on 17 Mar 2020 in Sens, Yonne, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Christine married Francis TEBOUL on 15 May 2010 in Thonon-les-Bains, Haute-Savoie, France. Francis (son of Isidore TEBOUL and Aicha Alice KORCHIA) was born on 8 Mar 1949 in Oran, Algeria. [Group Sheet] [Family Chart]

Remi married Barbara McDuffee SKINNER on 6 Nov 1982 in Paris 16e, Seine, France. Barbara (daughter of Carlton SKINNER and Jeanne Dorothy ROWE) was born on 4 Sep 1957 in San Rafael, Marin, California. [Group Sheet] [Family Chart]

Family/Spouse: Nicolas BELDICEANU. [Group Sheet] [Family Chart]

Family/Spouse: Elisabeth CANAYER. [Group Sheet] [Family Chart]

Family/Spouse: Max DA SILVA MATOS. Max was born on 1 May 1969 in Champigny-sur-Marne, Val-de-Marne, France. [Group Sheet] [Family Chart]

Notes:

born at 16h20 – weight 3,9kg

Family/Spouse: Kinga DANSCZYK. [Group Sheet] [Family Chart]